Amendes de plusieurs milliers d’euros, peines de travail d’intérêt général (TIG), prison ferme ou avec sursis, telles sont les réponses de l’institution judiciaire à un mouvement social qui a osé remettre en cause la loi du ministre Fillon, remercié depuis.
A quoi rime la « volonté de dialogue » affichée par le nouveau ministre de Robien si, dans le même temps, les tribunaux continuent à réprimer et des mesures administratives (refus de réinscriptions, par ex.) à sanctionner les lycéennes et les lycéens qui (...)
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