Paris 1 et 4 - Sorbonne et Tolbiac

Il y eu un blocage dans la matinée, à 12h l’on a organisé une assemble
général qui déboucha sur un vote pour la reconduite du blocage pour le jour
suivant : 196 pour le blocage et 174 contre, avec un groupe important de
"neutre" (ils sont contre la loi, mais ils pensent qu’il y a d’autres modes
d’actions).

Aujourd’hui était prévue une nouvelle AG, après plus de trois semaines de mobilisation plutôt difficiles (1ère AG à 90-100, ensuite moitié moins...). La fac de Tolibac étant fermée, plusieurs dizaines d’étudiant-e-s de ce site (annexe de Paris 1) se sont retrouvé-e-s dans nos murs ; ce qui a pas mal boosté nos effectifs. Au final, l’amphi de départ a été très vite blindé, on a ouvert l’amphi Richelieu que l’administration avait gentiment voulu maintenir fermé et on s’est rertouvé à plus de (…)

Non a la repression du mouvement social etudiant ! Les etudiants du site Pierre Mendes France (PMF) de l universite Paris 1 Panthéon Sorbonne sont en greve depuis le mardi 30 octobre 2007 contre la privatisation des universites et pour l abrogation de la loi Pecresse dite d’autonomie qui en est l expression ainsi que contre la loi Hortefeux. Vendredi 2 novembre la presidence de l’universite a pris la decision de fermer administrativement et arbitrairement le site de PMF. Cela a pour but d (…)

Communiqué de la Présidence : Fermeture du centre Pierre Mendès France les 02 et 03 novembre 2007
Une assemblée générale réunissant plus de cinq cents participants au centre Pierre Mendès France le mercredi 31 octobre a appelé majoritairement au maintien des piquets de grève et à la mobilisation d’éléments extérieurs dans le cadre d’une journée « portes ouvertes » le vendredi 2 novembre.
La présidence de l’Université rappelle que les locaux universitaires sont destinés d’abord à (…)

Compte-rendu rapide de l’AG de la Sorbonne (Paris 1, Paris 4, Paris 5)
Entre 90 et 100 personnes présent-e-s en tout (beaucoup moins vers la fin...).

Nous étudiant de Paris I, réunis le 16 octobre 2007, nous prononçons pour l’abrogation de la loi Pécresse, dite d « autonomie des universités », car nous considérons qu’il s’agit d’une attaque grave contre l’université publique. Elle détruit nos diplômes, soumet l’université aux intérêt du patronat et précarise l’ensemble des personnels. Il n’y a donc rien à négocier dans cette réforme.
Mais cette loi n’est pas isolée, elle s’intègre dans la logique de l’ensemble des réformes du (…)