Atteinte d’une tumeur qui lui déformait le visage et la faisait souffrir en permanence, Chantal Sébire voulait mourir dignement. Elle n’en a pas eu le droit.
Atteint d’une débâcle aux élections et souffrant de grèves permanentes, le gouvernement doit avoir ce droit. On sait qu’il ne mettra pas fin à ses jours lui-même. L’injection létale, c’est à nous, jeunes et travailleurs de la faire. Dans les facs, l’opération campus va créer une université à deux vitesses, dans les lycées les (…)
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