Lycéens de tous les pays, unissez-vous…
Suppression de milliers de places en apprentissage, désengagement financier de l’État, frais d’inscription, privatisation des Universités, obligation de réussir, sélection sociale… Non, nous ne parlons pas de la France, mais de l’Allemagne ! Comme quoi, Sarkozy et Merkel ne sont pas si fâchés que ça…
Et le 23 mai, les lycéens allemands étaient eux aussi dans la rue. Ceux de Berlin ont adressé un appel de solidarité aux lycéens et enseignants de (…)
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Lycées
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Brèves lycées
8 juin 2008, par Adrien -
La mobilisation au Lycée Leonard de Vinci à Levallois (92)
8 juin 2008, par AdrienLes lycéens de Léonard de Vinci, à Levallois (92) ont activement participé à la mobilisation contre la casse de l’Éducation. Nous sommes deux militants JCR, dont un qui y est entré pendant la mobilisation.
Ce lycée, où il n’y avait jusque-là aucune réelle tradition militante et où les profs ne sont pas très combatifs, a été bloqué ponctuellement du 1er avril au 22 mai. Le blocage était le seul moyen pour nous de ne pas nous faire sanctionner par l’administration quand nous voulions nous (…) -
Une exclusion injuste et provocatrice
8 juin 2008, par Adrien« À la suite d’une procédure disciplinaire, Lou J. élève de 1ère ES du Lycée Jules Ferry (Paris 9e) a fait l’objet vendredi 16 mai d’une exclusion définitive.
Dans le mépris le plus total de la présomption d’innocence et sans la moindre enquête, le conseil de discipline s’est tenu sous la présidence de la proviseure. Elle était donc juge (puisqu’elle assistait aux délibérations) et partie (puisqu’elle est l’unique plaignante à titre personnel). Lou n’a pas eu la possibilité de verser au (…) -
Lycéens en colère, bien décidés à ne pas se laisser faire !
8 juin 2008, par AdrienLe mouvement lycéen a commencé au niveau national le 18 mars, avec la grève des profs contre les suppressions de postes et contre la suppression du cycle BEP/Bac pro.
Ce mouvement a été explosif. Il était avant tout issu des banlieues. Il exprimait une rage profonde, un grand ras-le-bol de la précarité, de la galère, de Sarko et de son gouvernement. En manif, le nombre n’a fait qu’augmenter avec des milliers jeunes révoltés dans la rue, deux fois par semaine pendant deux mois. Le mouvement (…)